Pellets : toutes les qualités ne se valent pas

Et voici pourquoi votre choix influence directement le ramonage

Le marché du pellet a explosé ces dernières années. Sacs blancs, sacs bruns, certifiés ENplus A1, low-cost de supermarché, pellets résineux, feuillus… Difficile de s’y retrouver.

Pourtant, la qualité du pellet que vous utilisez a un effet direct sur :

la propreté de votre poêle,

la fréquence de ramonage,

la consommation,

et même la durée de vie de votre installation.

Chez MonRamoneur.be, on voit très bien la différence entre un poêle alimenté avec un pellet de qualité… et un autre nourri avec un pellet bas de gamme.

Les différentes qualités de pellets : ce qu’il faut vraiment savoir

1. Les pellets certifiés ENplus A1

C’est aujourd’hui la référence.

Ils offrent :

une faible teneur en cendres,

une combustion propre,

un rendement optimal.

Idéal pour réduire l’encrassement du brasier, de l’échangeur et du conduit.

En général, ce sont des pellets 100 % résineux séchés correctement, avec un taux d'humidité maîtrisé.

2. Les pellets « A2 » ou non certifiés

Moins chers, mais… souvent plus problématiques.

Ils produisent :

plus de cendres,

plus de suie,

plus de dépôts,

et une combustion moins régulière.

Ce type de pellet entraîne une augmentation des cycles de nettoyage… et un besoin de ramonage plus fréquent.

3. Pellets résineux vs pellets feuillus

Résineux : combustion plus chaude et plus propre → moins de résidus.

Feuillus : combustion plus froide, davantage de dépôts → plus d’encrassement.

Les meilleurs pellets sont généralement 100 % résineux.

4. Les pellets « discount »

Le prix attire… mais les conséquences se voient vite :

poussière dans les sacs,

granulés friables,

taux de cendres élevé,

risques de bourrage dans la vis sans fin,

vitre qui noircit rapidement.

Ce type de pellet oblige à un ramonage plus tôt dans la saison, et peut même provoquer des pannes.

Pourquoi le choix du pellet influence le ramonage ?

Un pellet de mauvaise qualité produit :

plus de suie,

plus de cendres,

plus de goudron,

plus de dépôts dans le conduit.

Et ces dépôts, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent :

réduire le tirage,

faire surchauffer votre poêle,

déclencher un feu de conduit,

encrasser les capteurs → pannes prématurées.

C’est exactement pour cela que nous observons, dans la région d’Arlon, Messancy, Habay, Étalle et Virton, que les installations tournant avec un pellet bas de gamme nécessitent un ramonage 2 à 3 mois plus tôt que la normale.

Alors, quel pellet choisir ?

Pour limiter l’entretien et garantir une combustion propre :

✔ Privilégier

un pellet ENplus A1,

100 % résineux,

faible taux d’humidité (<10 %),

cendres < 0,7 %,

marque connue et régulière.

✘ Éviter

les pellets sans certification,

les sacs poussiéreux,

les granulés cassés ou friables,

les « bonnes affaires » trop belles pour être vraies.

C’est un investissement… mais largement compensé par :

une meilleure chaleur,

moins de consommation,

un poêle plus propre,

et moins de pannes.

Et côté ramonage ?

Même avec un pellet de très bonne qualité, il faut un entretien annuel.

Mais si vous utilisez un pellet moyen ou bas de gamme, ou si vous chauffez beaucoup, il est souvent nécessaire de :

nettoyer plus régulièrement,

ramoner plus vite que prévu,

vérifier le brasier ou les conduits de fumées plus souvent.

Un bon pellet prolonge la durée de vie de l’installation…

Un bon ramonage assure votre sécurité.

Les deux vont ensemble.

MonRamoneur.be par Belma - L'Esprit du Feu

Ramonage et entretien dans la région d’Arlon, Messancy, Habay, Étalle et Virton

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👉 www.monramoneur.be

Parce qu’un bon feu commence toujours par un bon pellet… et un conduit propre.